Pinpinonline

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samedi 9 juin 2007

Le Réveil du Chaos

Distance : 16kms Durée 3h00 .
(distance totale : 109kms)


Une Isacui en plein effort, un John Bob en plein rien.

note : il s'agit ici des chaos de Toul Goulic, à Trémargat, chez les babzouilles.

mardi 5 juin 2007

Vals de Saint Adrien

Distance : 8kms Durée 1h40 .
(distance totale : 93kms)

Bon, déjà, je n'aime pas beaucoup quand une rando commence par un pluriel idiot. Pensez donc, vals de Saint-Adrien. C'est parfaitement idiot, comme pluriel. Est-ce-que je dis que je randonne par Monts-z-et-par-vals?

Ben non. Ca serait parfaitement idiot. Oui, je sais, c'est accepté par le dico, et j'ai l'air de monter sur mes grands chevals pour rien, mais aux grands mals les grands remèdes (et il s'agit sûrement d'une cabale), je n'ai point pour habitude de faire le chacal, mais pour une fois, une bonne vieille colère ne fait pas de mal.

En plus, ils n'étaient pas obligés de l'utiliser, ce pluriel idiot : pas moyen de se tromper avec l'animal homophone de son pluriel moins idiot (le bête veau, quoi), vu que sur ce circuit particulier, les seuls animaux qu'on a pu voir, c'étaient des boeufs. Des gros boeufs en auto. Oui, parce qu'en fait, les vals du titre, c'est surtout sur route que ça se passe. Ou bien juste à côté du Trieux, avec de l'autre côté, une route...

Alors bon, on a marché le plus vite possible, et puis on est rentrés, contents d'avoir fait du sport et de s'être emplis les poumons de gasoil.


On aura au moins bien ri de voir que là-bas,
ils avaient le droit de voter pour Chevallier et Laspalès.

dimanche 3 juin 2007

Haute vallée de l'Oust

Distance : 10kms Durée 2h00 .
(distance totale : 85kms)

Deux itinéraires possibles pour cette rando : la version piétons pour 10 kilomètres, et la version cyclimsmtes pour 20 kilomètres. Après un long débat, avec thèse antithèse et synthèse, nous avons décidé de commencer par l'itinéraire le plus court, reportant le plus long à l'été... L'été, on ne sait pas trop quand il va tomber, c'est le seul souci. On espère que ça sera un dimanche. Pour l'instant, en tout cas, c'est encore presque l'hiver. On grelotte et on est arrosés avec une insistance rare. Depuis le temps que je vous dis qu'ils vont tout nous détraquer avec leurs fusées, leurs roquettes, et toutes leurs salades...

Bon, elle était comment cette rando? Très bien, ma foi, et en plus d'être pleine de jolies choses à voir (notamment la charmante chapelle ci-dessus, perdue dans les arbres), révèle des surprises très idiotes à l'amateur...


Quel pique-nique a bien pu être sacrifié pour
ainsi mériter une chapelle? Mystère...


Voilà ce qu'on peut apercevoir
dans le jardin d'un collectionneur...

Vivement l'été, donc, pour la version 20 kilomètres, à condition qu'il dure plus de 2 heures...

samedi 2 juin 2007

Le réveil-lutins

Distance : 10kms Durée 3h00 .
(distance totale : 75kms)

Nous avons décidé, d'un commun accord avec Pinpin, que j'aurai désormais la lourde charge de m'occuper des compte-randos racontant nos galères. Sans doute un vieux reste de pudeur, de honte et de fierté "non chérie nous ne sommes pas perdus c'est juste le balisage qui a été effacé" masculine.

Donc, nous voilà partis ce samedi 2 juin pour le "circuit du reveil lutins". 8km au compteur pour une durée de 2h. Ce qui voulait dire dans notre esprit "nous sommes rentrés dans 1h30 et après nous pourrons prendre des nouvelles de Hiro Nakamura". La première partie se passe sans encombre même si, il faut bien l'avouer, cela n'a rien d'exceptionnel : tout au plus quelques terriers de blaireaux entre les racines des arbres et un ou deux chemins creux. La routine quoi!

C'est au bout d'une heure que tout se gâte lorsque le balisage jaune disparait subitement.Nous avons retourné le problème dans tous les sens, essayé tous les chemins qui s'offraient à nous même les plus impraticables (avec orties gigantesques, ronces, boue et compagnie), rien n'y a fait, nous avons été incapables de continuer la rando par le sentier prévu. Nous nous sommes donc retrouvés, après une demi heure d'errance, sur la grand route que l' autochtone interrogé qualifie de nationale pour retourner au bourg un peu dépités et perplexes.


Ici la nature reprend ses droits... sévère!!

Quelques heures plus tard, à l'heure de l'apéro, nous avons eu une épiphanie: "A tous les coups c'est la DDE qui était responsable du balisage!"